Droit de réponse

Réponses détaillées aux éléments présentés par BYC dans son analyse (en noir, les écrits originaux de BYC et en rouge, ci-dessous, nos éléments de réponses).

Je vous prie d’excuser le ton un peu vif de cette réponse. C’est la 2ème fois que BYC nous fait ce coup là (voir notre première réponse) et comme je lui ai exposé personnellement plusieurs fois nos arguments, je pense que la moindre des choses, quand on prétend être objectif, serait de les mentionner – je n’ai pas dit de les reprendre à son compte, chacun est libre de penser ce qu’il veut. Vous pouvez d’ailleurs répondre en commentaires.

Merci aux clients qui nous ont prévenu. Les écrits de BYC nous font effectivement du tort, son site est visiblement très lu.

Thierry Klein

Ajout (7 janvier 2008): suite à notre demande de droit de réponse, les parties les plus dénigrantes et critiquables concernant eBeam dans la page originale ont été enlevées. Nous les reproduisons ci-dessous pour que vous puissiez vous faire une idée de l’objectivité de l’original.

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Deux technologies pour deux utilisations

BYC confond technologie et emballage. La technologie eBeam, que nous distribuons, est utilisée dans nos TBI mobiles, mais aussi dans les TBI fixes ou mobiles 3M, Ulmann, NEC et d’autres concurrents ou partenaires. Il n’y a qu’une seule technologie, sous une présentation différente: mobile ou non mobile.

 

DMI : Dispositif Mobile Interactif. Pourquoi ne pas dire TBI mobile comme cela se fait dans tous les pays du monde ? Parle-t-on de Dispositif Mobile Informatisé pour un ordinateur portable ? Le terme même de DMI est dénigrant pour notre produit, car il induit aux yeux du lecteur non averti une différence de nature entre notre technologie de TBI portable et la technologie de TBI dite “classique”.

Un DMI haut de gamme par Hitachi
Ben voyons… Et notre TBI mobile serait
donc, en creux, “bas de gamme” ?
Dans tout le “comparatif” de BYC, les solutions concurrentes sont portées aux nues, la notre attaquée… Alors que, très souvent, les solutions concurrentes si appréciées de BYC reposent sur le technologie eBeam, conçue par Luidia.).

La différence entre ces deux catégories de matériels, c’est que les DMI sont très facilement portables.

Certains établissements scolaires hésitent entre les deux. Voyons ici quelques éléments pour faciliter leur choix. Le plus gênant, dans ces pages, c’est bien leur apparence de test comparatif et d’objectivité. Bernard-Yves Cochain, drapé dans son statut d’expert, présente ces données comme objectives, alors qu’elles ne sont que le fruit de son ressentiment à l’égard de notre société et de notre approche.

 

DMI TBI
Portabilité pour les personnels itinérants C’est le point fort du DMI.
Il suffit de trouver une surface claire de surface convenable pour la transformer en TBI.
Dans certains cas, il est difficile de trouver une surface convenable pour projeter.Encore une fois l’apparence d’objectivité. BYC ne peut pas nier totalement le côté pratique, mais “il faut une surface convenable”. Oui, c’est vrai. Merci de le préciser. Nous ajoutons à toute fin utile qu’il faut aussi un professeur muni de bras et des élèves munis de cerveaux pour utiliser un TBI mobile.
S’il existe des TBI de petite taille, facilement portables, ils offrent une surface de projection réduite.
En revanche, ils offrent une qualité de surface optimale.Désolé, mais il n’y a pas pour moi de surface optimale pour tous les usages. Il existe des surfaces mattes, semi-mattes, et brillantes. Sur les surfaces mattes, il n’y a aucun reflet mais on ne peut pas écrire au feutre effaçable…Ulmann propose toutes les possibilités. Le meilleur compromis, me semble-t-il, est le semi-mat (reflet réduit, écriture au feutre possible) ou … un simple carton blanc (nous proposons aussi un tel système, dont l’avantage est le coût presque nul et la légéreté).
Changement de salle Changer un DMI de salle est très facile, puisque le matériel est très facile à transporter.
En revanche, le DMI est plus lent à installer qu’un TBI.Pour installer un TBI “fixe”, il faut souvent monter un vidéo-projecteur spécial (courte focale), traîner un tableau de 20 kg sur roulettes… La prestation d’installation d’un fixe est en général facturée plusieurs centaines d’euros… Donc l’affirmation ci-dessus est plus qu’étonnante.

Les ventouses ne tiennent véritablement que sur des tableaux brillants. Dans les autres cas, il faudra utiliser des vis ou du double face.

Les vis correspondent à une utilisation fixe. Là encore, BYC sait bien que le TBI mobile ebeam est livré avec un système d’aimants, de ventouses et de scotch double-face lui permettant de tenir sur toute surface usuelle (je l’ai testé personnellement sur toutes sortes de murs, des tableaux, des briques, des vitres…). Si BYC utilise un support ventouse sur un tableau brillant, libre à lui, car il ferait mieux d’utiliser le système aimanté… Comme BYC est un expert objectif, nous dirons qu’il n’était simplement pas au courant.

Si les TBI sont livrables avec un pied, nous déconseillons cette option qui rend les passages de porte ou les escaliers délicats.
Le plus simple est de porter le TBI et de le fixer sur des supports muraux préalablement fixés dans les salles concernées.
Cela permet d’avoir un positionnement précis, rendant plus rapide la mise en œuvre.
Qualité du logiciel Le choix d’un logiciel est sans doute le point essentiel à considérer pour une utilisation pédagogique.
Avant l’arrivée du DMI Hitachi qui utilise le même logiciel que ses TBI, il fallait se résoudre avec les DMI à des logiciels plus succincts.Merci à BYC de présenter, avec l’objectivité qui le caractérise, le TBI mobile vendu par notre concurrent comme le TBI “sauveur” puisqu’avant, il fallait se “résoudre” à utiliser des logiciels “plus succincts”. Nous pensons que cette affirmation est absolument fausse. Notre logiciel est conçu de façon VOLONTAIREMENT très simple, pour permettre à un utilisateur non expert de le prendre en main et de l’utiliser très rapidement. J’ai parlé dans mon blog de l’approche “IPOD”.

 

Ce logiciel est très apprécié des professeurs. Il possède un grand nombre de fonctions avancées et nous ne le jugeons pas inférieur du tout aux autres logiciels mentionnés par BYC.

La plupart des TBI sont livrés avec un logiciel performant.
C’est important pour une utilisation pédagogique.
Environnement mixte TBI – DMI Chaque TBI et DMI a un logiciel propriétaire.
On a donc intérêt à chercher un produit compatible avec ce que l’on utilise déjà.
Hitachi en proposant un DMI compatible avec ses TBI permet de résoudre le problème.… probablement… si vous utilisez déjà un TBI de cette marque ! Sachez que le logiciel eBeam est aussi compatible avec les TBI fixes Ulmann, NEC et 3M. Merci à BYC d”avoir mentionné ce point dans son enquête si exhaustive et si objective. Depuis début 2006, et BYC le sait bien, nous proposons une gamme complète, mobile, fixe, rétroprojetée, etc.. de tableaux interactifs

 

Surfaces de dimensions exceptionnelles Les DMI permettent de couvrir une surface de dimension non-standard.
Certains modèles, permettent d’utiliser plusieurs DMI pour couvrir une surface plus importante (8m de large avec 4 Mimios). Ou 5,50m de diagonale avec eBeam. Voir photos.
La surface de projection est limitée à la taille maximale du TBI.
Certains bricoleurs ont fabriqué des TBI plus larges, mais ce n’est pas à la portée du premier venu…
Feutres effaçables Les DMI sont intéressants pour rendre interactives des surfaces dédiées à l’écriture avec des feutres effaçables.
Dans ce cas, on se contente de conserver la mémoire de ce qui a été inscrit, sans utiliser de vidéoprojecteur.
Deux marquent proposent cela en option, Mimio et Hitachi.
eBeam propose aussi un dispositif de ce type, mais il n’est pas compatible avec la version interactive (matériel et logiciels différents). C’est absolument faux, vous pouvez utiliser feutres et version interactive simultanément avec eBeam, ce qui, à ma connaissance, est totalement unique… Voir par exemple cette vidéo:
Certains TBI acceptent les feutres effaçables de façon native (Smart, Hitachi série FX2 et Polyvision), ou en option (InterWrite et Hitachi série F).
Prix Au premier abord, les DMI semblent être plus économiques.Au deuxième abord, aussi – voir ci-dessous.
Cependant, pour une utilisation fixe, il faut faire le total de tout ce qui est nécessaire en plus :
►Tableau blanc mat (pour éviter les reflets)

Le mat n’est pas toujours, loin de là, une surface optimale. Un TBI mobile s’utilise aussi souvent sur un simple mur clair ou sur le tableau blanc de la classe, ce qui résoud le problème de l’achat d’un tableau.

►Vidéoprojecteur XGA

Lui aussi est souvent déjà présent dans l’établissement.

►Logiciel tiers (sauf pour Hitachi) si l’on souhaite accéder aux fonctionnalités avancées offertes par les meilleurs logiciels TBI.

Ben voyons… Il semble que BYC tienne vraiment ce logiciel – contre lequel je n’ai rien par ailleurs – en si haute estime… Enfin, tout ça doit être vrai, puisque BYC est un expert objectif.
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La réalité, c’est que plus de 80% de nos clients ont déjà un vidéoprojecteur et un écran, ou un mur disponible et ne dépensent donc que 700 € environ pour l’acquisition ‘un TBI.

L’autre réalité, c’est qu’il n’y a pas opposition entre le fixe et le mobile, comme BYC essaie de le faire croire. Opposer le fixe et le mobile, encore une fois, c’est opposer le PC portable au PC de bureau… Aucun sens… les deux ont leur place.

 

 

 

Les TBI seuls coûtent en général plus cher que les DMI.
C’est logique car ils y a plus de frais de transport et de matériaux.Croire que le prix d’un TBI, c’est “transport et matériaux” relève d’une logique infantile. On n’est pas chez Casto. Le prix d’un TBI comprend avant tout des coûts de R&D , des coûts commerciaux, etc… Depuis quand la technologie se vend-elle au kilo ? (A ce compte, l’Iphone serait donné !)

Cependant, l’assise commerciale des fabricants de TBI étant plus importante, l’écart de prix n’est pas très sensible.
Si on considère les offres en pack (TBI + vidéoprojecteur), les solutions TBI sont souvent moins chères.

A mon avis, c’est faux. Sur ce que nous avons pu observer, nous équipons des classes pour environ 700 € HT par TBI. J’entends parler de prix moyen d’équipement d’environ 3 000 € pour des TBI fixes (chiffres du Ministère).

Je m’étonne presque que BYC ne rajoute pas au coût de notre TBI le coût des murs de la classe, le salaire de l’enseignant, etc … La réalité, c’est que plus de 80% de nos clients ont déjà un vidéoprojecteur et un écran, ou un mur disponible et ne dépensent donc que 700 € environ pour l’acquisition d’un TBI.

On remercie aussi BYC pour la haute considération qu’il montre pour notre “assise commerciale” si peu importante par-rapport aux “fabricants de TBI”…La réalité, c’est que nous disposons d’un réseau de plus de 30 revendeurs et que nous sommes représentés sur tout le territoire français, y compris outre-mer.

Quand préférer un DMI ?

  • Pour une utilisation fixe, celle qui est recommandée pour un usage pédagogique, il est préférable d’avoir un tableau fixe.
  • Affirmation tout à fait péremptoire, à mon avis fausse, du moins sous cette forme. “Les usages pédagogiques” ne sont pas définis par BYC, mais par l’ensemble des utilisateurs.
  • le DMI peut se justifier uniquement si on souhaite utiliser une dimension précise, non compatible avec celles qui sont proposées par les fabricants de TBI. Je ne comprends pas totalement cette phrase, qui dénigre notre solution de façon gratuite, mais elle doit être vraie puisque BYC est un expert objectif.

Ce que BYC loupe totalement, dans son “analyse objective”, c’est que le TBI mobile, s’installant en quelques secondes, se partage entre les professeurs et donne à tous l’accès à la technologie du TBI. Même si le prix d’achat du mobile était identique au fixe (ce qui n’est, de loin, pas le cas), le coût d’usage du mobile est divisé par le nombre de professeurs qui peuvent s’en servir. Avec quelques TBI mobiles, on équipe de fait tout un établissement (sinon, il faut un TBI par classe, ce qui n’est tout simplement pas souhaitable partout, pour de simples raisons économiques, à mon avis). Nous pensons, depuis 3 ans, que l’usage nomade des TICE est leur avenir.

  • Il faut cependant obligatoirement en ce cas, apporter un grand soin au choix de la surface de projection pour éviter le point chaud.

La projection sur un tableau blanc normal provoque un point chaud (reflet) très gênant. On ne peut donc pas envisager l’utilisation d’un DMI dans ces conditions pour une installation utilisée régulièrement.

Merci à BYC, dans un nouveau grand souci d’objectivité, de présenter notre logiciel sous son jour le plus favorable. Il nous montre la copie d’écran d’un bug (!) et sa photo est prise de façon à ce qu’on ne voit qu’un gros reflet (!), ce qui démontre un talent certain au niveau du cadrage). Le point chaud est un problème réel, qui se résoud très facilement dans 95% des cas, nous avons largement écrit sur le sujet dans notre blog (voir ici, ici et ) – et BYC le sait, mais évidemment, je ne suis pas un expert objectif et cela ne vaut même pas la peine d’être mentionné.

Je m’arrête là. Encore une fois,l’analyse de BYC nous est volontairement défavorable, et nous nuit d’autant plus que, drapé dans son statut d’expert, la présente comme objective, alors qu’elle n’est que le fruit de son ressentiment à l’égard de notre société et de notre approche.

  • Pour un utilisateur itinérant se déplaçant en transports en commun.
    Le court temps d’utilisation ne posera pas trop de problèmes pour les yeux des spectateurs (point chaud).

Trois dispositifs mobiles, Hitachi, Mimio et eBeam

  • En voiture, les petits TBI sont en général plus pratiques car ils comportent une surface interactive optimisée pour la projection, ce qu’il n’est pas toujours possible de trouver en déplacement.

Les petits TBI, de la taille d’un carton à dessin, sont facilement transportables en voiture. Leur surface reste suffisante pour une utilisation en classe, en particulier avec de jeunes enfants qui ne peuvent, de toute façon pas utiliser toute la surface d’un grand TBI.

  • Lorsque l’on veut équiper un tableau à papier, ou un très grand tableau, sans utiliser de vidéoprojecteur, il est intéressant de se tourner vers la barre Mimio ou le DMI Hitachi qui permettent (en option), l’utilisation des feutres effaçables.
    eBeam propose un dispositif similaire, mais qui n’est pas compatible avec son dispositif interactif (ni le logiciel, ni le matériel). Encore une fois totalement faux.
    La barre Mimio permet en outre l’utilisation de quatre dispositifs en parallèle ce qui assure la couverture d’un tableau de près de huit mètres de large..Quatre barres Mimio pour équiper un tableau blanc très large. Ce dispositif n’a d’intérêt qu’avec des feutres effaçables.

 

Les DMI (Dispositifs Mobiles Interactifs)

Le terme même de DMI est dévalorisant. Dans tous les pays du monde, on parle de TBI mobile. L’usage est identique au TBI, la seule différence, c’est la portabilité. Il y a entre TBI mobile et TBI la même différence qu’entre ordinateur portable et ordinateur.

Mimio et Hitachi

Merci à BYC de nous présenter de façon si équitable. De multiples liens de son “comparatif” renvoient vers nos concurrents et leurs différents revendeurs dans son comparatif… Mais aucun vers ebeam France… (simplement au cas peu probable où les lecteurs les moins découragés par ses remarques voudraient avoir accès à d’autres informations…).

Les Tableaux Blancs Interactifs sont encombrants.

Les fabricants ont résolu une partie du problème en proposant des modèles de petite taille. S’ils sont plus faciles à transporter, en revanche, ils sont aussi plus petits à l’affichage.

Une solution astucieuse permet de s’affranchir de ce dilemme, les dispositifs interactifs mobiles.

Mimio, Hitachi et eBeam sont les principaux fabricants proposant ce type de solutions en France.

  • Ne pas prendre un DMI pour le prix, là où un TBI est mieux adapté et parfois moins cher si on compare tout…
  • C’est de parti prix, subjectif et faux. Même si la configuration mobile avait le même coût que la configuration fixe (ce qui n’est, de loin, pas le cas), le coût d’usage du mobile est divisé par le nombre de professeurs qui peuvent s’en servir. Avec quelques TBI mobiles, on équipe de fait tout un établissement (sinon, il faut un TBI par classe, ce qui n’est tout simplement pas souhaitable partout, pour de simples raisons économiques, à mon avis). Nous pensons, depuis 3 ans, que l’usage nomade des TICE est leur avenir.

 

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