La philosophie des nouvelles fonctions vidéo 3.0 : Speechi or not Speechi ?

Jusqu’à présent, Speechi était un outil que le professeur pouvait utiliser lui-même à 100%. Avec l’introduction des nouvelles fonctions vidéo, nous changeons de catégorie puisqu’en mode Conférence, l’idéal est d’avoir un cameraman qui filme le professeur, puis la vidéo sera, en un clic, synchronisée avec son cours.

Du coup, on vraiment failli changer le nom de l’outil comprenant la vidéo. On a gardé Speechi pour les raisons suivantes :

  1. Speechi « avec vidéo » reste un outil qui peut s’utiliser en direct, devant les élèves. Il couvre des besoins mixtes, présentiels et en ligne, ce qui est l’essence même de Speechi (nous ne croyons pas à l’e-learning « pur et dur » ). On imagine mal un professeur dans une salle de classe (donc face à ses élèves, en direct) se filmer avec une Webcam. Donc nous avons considéré que s’il y avait vidéo dans ce contexte, il y aurait TOUJOURS un caméraman.
  2. En mode Studio, le professeur peut, s’il le souhaite, utiliser la fonction « Vidéo » avec sa Webcam, il s’enregistre, diapositive par diapositive, puis peut charger sa vidéo dans Speechi et la synchronisre de façon précise et interactive avec ses dipositives. On reste donc dans le cadre « traditionnel » de Speechi où el professeur peut tout faire lui-même.

Pour tout dire, j’ai beaucoup hésité avant d’intégrer dans Speechi des fonctions vidéos, et la raison est qu’aujourd’hui, la vidéo a un statut contrasté. Elle attire 90% des professeurs mais ne concerne réellement que 10% d’entre eux car qui dit vidéo dit caméra, numérisation et très souvent montage.

Tout ceci entraîne typiquement un coût de production de plusieurs centaines, voire milliers d’euros à l’heure – et je rappelle que Speechi n’a été créé, au départ, que pour ramener ce coût de production vers zéro. Ce qui a vraiment emporté le morceau et fait que nous avons intégré ces nouvelles fonctions, ce sont les trois points suivants :

  1. Les techniques vidéo se simplifient et se généralisent, d’où les succès de YouTube, par exemple. La vidéo sur Internet est en train d’évincer le son et dans 2 ou 3 ans, 30 ou 40% des professeurs seront, je pense, capables de l’utiliser seuls.
  2. L’image reste le moyen de communication le plus spectaculaire
  3. Nous avons réussi à mettre au point une interface ou AUCUNE connaissance de montage vidéo n’est nécessaire, que ce soit en mode Studio ou Conférence.

    Finalement, je pense vraiment que les professeurs qui décideront de s’y mettre pourront intégrer leur vidéo sans aucune aide technique (en mode Studio). A ma connaissance, il n’y a pas d’autre outil qui permette ceci sur le marché aujourd’hui.

 

J’attendrai avec impatience vos retours sur ces points !

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